(Agence Ecofin) - Au Kenya, la Chine veut effectuer des audits virtuels des vergers d’avocatiers avant d’autoriser les envois de ces fruits sous forme fraîche sur son territoire. C’est ce qu’a annoncé Isaac Macharia, directeur général du Service d’inspection phytosanitaire (KEPHIS), le 18 mai. Selon le responsable, cette nouvelle exigence de Pékin ralentit le processus d’attribution des licences d’exportation alors que le feu vert a été accordé depuis février dernier.
A l’heure où une dizaine d’entreprises ont déjà manifesté leurs intérêts pour le marché chinois, l’industrie devra encore attendre avant de profiter des opportunités commerciales dans le pays le plus peuplé du monde.
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