(Agence Ecofin) - Fournir aux plus de 500 millions d’internautes africains une plateforme de communication capable de leur offrir des services adaptés à leurs réalités, telle est l’ambition qui a poussé en 2016 l’entrepreneur camerounais Alain Ekambi à créer Dikalo.
Dikalo
Le camerounais Alain Ekambi est à l'initiative d'un réseau social qui franchira très bientôt le cap de 100 millions de messages échangés
Publiée par AgenceEcofin sur Jeudi 27 août 2020
4 ans plus tard, les statistiques du réseau social sont plutôt encourageantes. La barre des 85 000 mille utilisateurs réguliers a été franchie, et le cap de la centaine de millions de messages envoyés est en vue. Un succès rendu possible en partie par des levées de fonds qui ont permis de rassembler 1 million d’euros pour financer l’entreprise.
Dikalo n’est pas le premier réseau social 100% made in Africa. Des plateformes comme Yookos ou Mxit figurent parmi les plus utilisées sur le continent noir. Celle d’Alain Ekambi se démarque donc en offrant à ses utilisateurs un contrôle total de leurs données personnelles. Pas besoin de numéro de téléphone pour démarrer une conversation.
Alain Ekambi annonce pour bientôt une version 2.0 de Dikalo et promet qu’il s’agira d’une véritable révolution.